L’assemblée générale annuelle des Lozériens de Paris, lundi 25 mars 2019, dans le restaurant : « le Musset », chez Alain VALENTIN, s’est déroulée dans une atmosphère d’amitié et d’exposé des initiatives et activités amicalistes, démontrant la vitalité de l’association, en compagnie d’une vingtaine de lozériens de Paris.
Le salon de l’agriculture vient de fermer ses portes. Après avoir été la vedette du Salon de l'Agriculture, Imminence va retrouver l'anonymat de sa ferme du Nord-Pas-de-Calais tout comme nos Aubrac aux yeux maquillés et nos Salers à la robe acajou.
Après avoir répondu aux invitations de nos départements lors de visites sur les stands ou soirées privées avec la participation de nos Pastourelles, de notre Présidente, de membres du Comité Exécutif ou du Comité Directeur, la Ligue Auvergnate, dans la continuité d'un partenariat "culture et patrimoine" établit depuis plus d'un an avec le Parc Naturel Régional de l'Aubrac, a participé au programme d’animations de la semaine. L'objectif était de valoriser, une fois encore, le territoire dans son ensemble, ceux qui le font vivre et en mettant à l’honneur nos traditions.
Le Prix Arverne est attribué annuellement et contribue à promouvoir la richesse littéraire auvergnate.
Ce prix est décerné à une publication littéraire (roman, essai, nouvelles, biographie, monographie, poésie, bande dessinée, etc…) parue durant l’année précédant le Prix, remplissant au moins l’une des deux conditions suivantes :
- Être écrite par un originaire de l’un des 9 départements rattachés à la Ligue Auvergnate (Allier, Aveyron, Cantal, Corrèze, Creuse, Haute-Loire, Lot, Lozère, Puy de Dôme)
- Ou traitant d’un sujet concernant l’Auvergne ou l’un des 9 départements reliés à la Ligue Auvergnate.
La remise du Prix est effectuée, en présence du jury, au cours d’un événement organisé par La Ligue Auvergnate au printemps de chaque année..
Un pays est-il inscrit dans les gènes ? Petite-fille de bistrotières aveyronnaises, une Parisienne revient dans le berceau de la famille, en Aubrac. Un roman sensible et prenant sur les origines, la transmission, le secret et le rapport à la terre.
Le livre
Brune a grandi au-dessus du Catulle, le café parisien de ses « grands-mères », Douce et Granita, qui l’ont élevée après la mort de Rose, sa mère. À l’époque, les soeurs Rigal – deux sacrées bonnes femmes – servaient jusqu’à deux cents repas par jour. Comme chez la plupart des limonadiers aveyronnais de Paris, les mots « vacances » et « loisirs » y étaient bannis.