Confinés des villes, confinés des champs… (3)
Journal d’une confinée...
Lundi 16 mars : Je traîne dans mon appartement, en me demandant comment la situation va évoluer… Quand mon cousin Paul, le vigneron, m’appelle. « Je suis en Haute-Loire avec ma sœur, tu fais quoi toi ? » Comment ça je fais quoi ? Je ne comprends pas tout de suite. Il m’explique que la situation risque de se détériorer et que, peut-être, d’ici quelques jours ou même ce soir nous allons devoir nous confiner encore plus. La grande question s’installe alors dans ma tête, est-ce que je rentre en Auvergne ? Dans mon cerveau se jouait une comédie dramatique ou le rôle principal n’arrivait pas à se décider, dans l’urgence, de ce qui était mieux pour elle !
Confinés des villes, confinés des champs… (2)
Confinement au balcon...
C’était à Paris, comme un long dimanche d’août qui n’en finissait pas …
J’étais sur mon balcon et je regardais la ville.
Malgré le soleil glacial qui illuminait la Capitale, Paris avait revêtu son masque de tristesse.
Un silence inhabituel envahissait les rues quasi désertes. Les gens qui se croisaient s’évitaient, pensant à respecter la « distanciation sociale ». L’angoisse était palpable.
Désormais, le coronavirus ou Covid 19 était devenu le nouveau maître du Monde, dictant ses cruelles volontés.
Confinés des villes, confinés des champs…
Dix jours. Dix jours déjà de confinement.
J’avais quitté le monde et ses routines dès lundi 16 mars au soir, après avoir accueilli mes enfants, amis et petits-enfants pour fêter mon anniversaire et m’être laissé la journée pour tout préparer. Depuis ce jour, j’ai réduit mes déplacements au strict minimum, comme cela a été imposé dans tout le pays.
Ici en réalité, pas grand-chose ne change. Je vis dans un petit village, en pleine campagne, sur le toit de l'Aveyron, au cœur de l'Aubrac, entouré de maisons anciennes, sans clinquant aucun mais toutes, je crois, plutôt spacieuses et confortables derrière leur façade en vieilles pierres et leur toiture en lauze aux couleurs flamboyantes sous le soleil comme sous la pluie.
Nuit du Cantal
Un mémorable et élégant anniversaire pour les 70 ans de la Fédération des Amicales du Cantal.
De l’énergie, de l’enthousiasme, la foi en l’amicalisme inébranlable de son président, un attachement à la terre cantalienne et une mise en valeur des traditions folkloriques et musicales de l’Auvergne et du Massif Central tout en dosant savamment avec les musiques contemporaines, tels furent les ingrédients de la recette magique concoctée pour la Nuit du Cantal, célébrant dans les réjouissances, les 70 ans de la Fédération des Amicales du Cantal, samedi 7 mars 2020, à partir de 20h.
L'Auvergne à l'honneur au Salon International de l'Agriculture !
A l’initiative de son président Nicolas NUGER, la Marque Auvergne nous a convié à participer le mardi 25 février 2020 en fin d’après-midi à sa grande soirée. Soutenue par la région Auvergne-Rhône Alpes, représentée pour la circonstance par son président Laurent WAUQUIEZ, le mouvement des Auvergnats à Paris était largement représenté.
Outre la fédération du Cantal et son président Bernard LHERITIER, le Cercle des Auvergnats, bons nombre d’associations comme par exemple l’Amicale du Tournoi des 6 Nations étaient présentes. Notre confédération était quant ’à elle plus spécifiquement représentée par 5 de ses membres : Isabelle CAZALS, présidente, Pierre GIRARD, responsable business, Muriel AUBLET-CUVELIER pastourelle de la Ligue 2019 chargée de notre communication sur les réseaux, et surtout par 2 de ses pastourelles : Mademoiselle Elisa PERRICHON pastourelle du Cantal, et Léa MALIGE pastourelle de la Ligue Auvergnate 2020.
Le territoire de l'Aubrac au Salon International de l'Agriculture
Pour la deuxième année consécutive, le Parc Naturel Régional de l’Aubrac a fait appel aux talents de la Ligue Auvergnate dans le cadre de notre partenariat initié il y a 18 mois pour l’animation de son stand au Salon de l’Agriculture 2020.
C’est donc inaugurée sous la houlette de notre pastourelle de la Ligue, mademoiselle Léa MALIGE, originaire de Recoules d’Aubrac que, le dimanche 23 février, le bal fut ouvert avec 8 danseurs de la BOURREE DE PARIS et 4 musiciens de CABRETTES et CABRETTAIRES. Durant près d’une heure, sur la place du village du CORAM (Collectif des Races de Massifs) du HALL 1 et devant une très nombreuse assemblée de visiteurs curieux et ravis, ils proposèrent de belles démonstrations de nos danses et de notre musique traditionnelle.
Les tapisseries en Haute-Auvergne, du XVème au XVIIIème siècle,
A la société des Lettres, Sciences et Arts : « la Haute Auvergne », en coopération avec la Veillée d’Auvergne, l’Aurillacoise et la Fédération des Amicales du Cantal.
Dans les très élégants salons Mogador de l’hôtel Ambassador, à Paris, l’art et l’histoire des tapisseries en Haute Auvergne ont été étudiés avec passion par Benoît-Henri PAPOUNAUD, lors de la rencontre organisée par la Société des Lettres, Sciences et Arts : « la Haute Auvergne », en coopération avec la Veillée d’Auvergne et du Massif Central, l’Aurillacoise et la Fédération des amicales du Cantal, mardi 25 février 2020, à 19h, en compagnie d’une cinquantaine d’amis.
Une prestigieuse vitrine pour l’agriculture lozérienne !
Pour la 14ème année, les Lozériens de Paris au Salon International de l’Agriculture.
C’est au son de l’accordéon d’Arnaud ROUVELLAT et des cabrettes de Sylvie BONNET et Jacques ROUVELLAT et à l’invitation du Conseil départemental de la Lozère que l’Association des Lozériens de Paris a participé pour la 14ème année consécutive, avec une pléiade de compatriotes, à l’inauguration du Stand de la Lozère au Salon International de l’Agriculture, lundi 24 février 2020, à 17h.